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Protecting Elephants: Anti-Poaching Efforts in the Tsavo Conservation Area
Spanning 42,000 km², Kenya’s Tsavo Conservation Area (TCA) is home to over 16,500 elephants, including the world’s last viable gene pool of “Big Tuskers,” elephants with exceptionally large ivory. The elephant population faces persistent threats from poaching and illegal wildlife trade. In response, Tsavo Trust (TT) in partnership with Kenya Wildlife Service (KWS), deploys seven anti-poaching teams and an aerial unit to protect elephants and other wildlife. IUCN Save Our Species African Wildlife initiative, which is co-funded by the European Union has supported these efforts.
Aerial patrols serve as “eyes in the sky,” locating poachers, monitoring wildlife, and providing vital intelligence to ground teams, significantly enhancing their effectiveness. TT rangers are recruited from local communities, enhancing livelihoods and stewardship of natural resources.
Over the past 11 years, combined efforts of KWS, TT, and partners have reduced elephant poaching by over 80%, and the population is now growing at an annual rate of 5%.
Citizen-science based monitoring for a low-density species to improve national-wide monitoring and greater inclusivity
Census of naturally low-density, widespread occurring and territorial species, in our case the Endangered Southern Ground-hornbill (SGH: Bucorvus leadbeateri), is difficult. In South Africa, we found that traditional atlas data severely under-reported areas where birders prefer not to go birding/ atlassing (remote rural areas/in perceived dangerous areas). However, knowing where SGH exists, and its population status, is a fundamental first step to sound conservation. We successfully conducted a four-year monitoring programme using citizen-science. By engaging local Champions to start a WhatsApp group for reporting SGH in their area using their own networks, we were able to reach a greater sector of society, people with a cultural association with SGH, but may never have considered being citizen scientists e.g. taxi drivers. Using a simple platform like WhatsApp, rather than a birding app, supported this. We found almost double the previous estimated population (from 567 to 920 groups) and can now target conservation action.
Analyse de la contribution économique des services écosystémiques des aires protégées d’Afrique de l’Ouest
Ce présent ouvrage vise à déterminer la contribution économique des aires protégées et de la biodiversité dans les politiques et stratégies environnementales régionales de l’espace UEMOA-CEDEAO (Union Economique et monétaire Ouest Africaine et de la Mauritanie – Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest). Pour atteindre les objectifs visés par ce travail, cet ouvrage aborde successivement le rôle de la biodiversité et des aires protégées dans l’amélioration du bien-être des communautés, l’importance de l’évaluation économique du capital naturel et des services écosystémiques et enfin les instruments d’intégration du capital naturel dans la planification et la prise de décision.
Le positif pour la nature pour les entreprises
La nature (l’eau, la biodiversité, les sols et l’air/le climat) continue de décliner, ce qui a des impacts négatifs considérables sur la société. Les entreprises doivent comprendre leurs impacts sur la nature et leurs dépendances envers elle, gérer leurs risques naturels et intégrer la valeur de la nature dans leur processus décisionnel pour repérer et mettre en oeuvre les occasions contribuant à la réalisation de l’objectif mondial positif pour la nature. Fondamentalement, le positif pour la nature représente un changement systémique et transformateur plutôt qu’un « remodelage » des pratiques actuelles. Le recours à des méthodes d’établissement des priorités peut permettre aux entreprises de cibler des domaines où elles peuvent apporter une contribution importante et significative dès le début de l’adoption d’un changement systémique et transformateur au sein de l’entreprise.
Guide et boîte à outils pour les évaluations d’impact dans un contexte de patrimoine mondial
As the World Heritage Convention celebrates its 50th anniversary in 2022, over 1100 sites around the world are recognized as World Heritage – places that are so valuable to humanity that there conservation has been deemed our collective responsibility. Yet many of these exceptional places face increasing pressure from diverse types of development projects within and around the sites. Assessing the impacts of such projects is essential to both prevent damage to World Heritage and identify sustainable options. This Guidance and toolkit explains the process for achieving these goals. Offering practical tips and tools including checklists and a glossary, it provides a framework for conducting impact assessments for cultural and natural heritage sites.
Des solutions fondées sur la nature pour les objectifs climatiques des entreprises
Les solutions fondées sur la nature (SfN) sont des actions entreprises pour protéger, gérerdurablement et restaurer les écosystèmesnaturels et modifiés qui bénéficientsimultanément aux personnes et à la nature. Les SfN sont essentielles pour relever desdéfis tels que les changements climatiques, lasécurité alimentaire, la sécurité hydrique, lesrisques de catastrophes, la santé humaine et ledéveloppement social et économique. Cette publication décrit les démarches disponibles pour inclure les SfN dans les stratégies climatiques des entreprises, conformément à la définition, aux principes et au Standard mondial de l’UICN pour les SfN™. Lorsqu’elles sont correctement mises en oeuvre, les SfN peuvent contribuer à l’atténuation et à l’adaptation climatiques tout en offrant des avantages notables pour la biodiversité et le bien-être humain.
Développement d’une capacité régionale en comptabilité du capital naturel des zones protégées en Afrique de l’Ouest
L’Afrique de l’Ouest se caractérise par une croissance démographique rapide, une pauvreté endémique ainsi qu’une mauvaise gouvernance et une piètre gestion des ressources naturelles. Cette situation est exacerbée par les effets négatifs du changement climatique et conduit sans équivoque à l’épuisement du capital naturel ouest-africain, y compris des écosystèmes dont la population est en grande partie tributaire. La conservation et la gestion des ressources naturelles, qui sont un besoin impérieux pour le développement durable de notre planète, réclament une prise de décision éclairée en faveur d’une croissance durable et d’un développement à long terme. La Comptabilité du Capital Naturel (CCN), également connue sous le nom de comptabilité écosystémique, peut apporter une réponse à la demande d’informations fondées sur des données probantes pour l’élaboration des politiques.
Plan d’action mondial pour les espèces
Le Plan d’action mondial pour les espèces (PAME) a été élaboré pour soutenir la mise en oeuvre du Cadre mondial de Kunming-Montréal pour la biodiversité (CMB) en définissant les principales interventions et actions stratégiques nécessaires pour obtenir des résultats positifs en matière de conservation et d’utilisation durable des espèces dans la mission, les objectifs et les cibles du CMB. Le PAME est un plan d’action pour tous : gouvernements, organisations intergouvernementales, conventions liées à la biodiversité, ONG internationales et nationales, peuples autochtones et communautés locales, instituts universitaires et de recherche, institutions ex-situ (zoos, aquariums, jardins botaniques), secteurs commerciaux et entreprises, agences de financement, communauté philanthropique et société civile dans son ensemble. Chacun a un rôle à jouer pour faire face à l’urgence à laquelle les espèces sont confrontées et s’assurer que nous transmettons un riche patrimoine naturel aux générations futures.